« Accompagner les périodes de transition
et maintenir le lien social
 »

En s’appuyant sur des dispositifs dits de « droit commun », il s’agit d’apporter aux personnes en perte d’autonomie les ressources nécessaires pour qu’elle maintiennent, voire développent leurs habiletés sociales en vue d’un maintien qualitatif à domicile.

En respectant le principe « d’autodétermination », les équipes professionnelles concourent à la mis en œuvre du projet de vie de la personne accompagnée.

Par l’intervention d’équipes pluridisciplinaires (auxiliaire de vie sociale, aide médico-psychologique, aide soignante…) le groupement MIRIAD vise à accroitre la capacité des personnes à agir seule dans la réalisation des actes essentiels de la vie quotidienne.

Outre la gestion de l’environnement de la personne et la couverture de ses besoins primaires, il s’agit de l’épauler dans la définition puis dans la mise en œuvre de son projet de vie.

Sur ce dernier point, une attention toute particulière est apportée lors des périodes de transitions (sorties d’établissement, entrée dans la vie adulte, basculement vers le grand âge, retraite…).

Au regard des enjeux liés à l’autonomie et au maintien à domicile, l’axe « aide aux aidants » constitue une priorité d’action pour les années à venir et ce aux côtés d’autres acteurs (relais autonomie, maison des aidants, professionnels de santé, organismes de tutelles, nouvelles technologies…).

PROJETS EN COURS :

  • Living lab de l’autonomie (sensibilisation & formation des proches aidants).
  • Aménagement de temps de répit ( balluchonnage, pair-aidance…).
  • Accompagnement des jeunes majeurs en situation de handicap.
  • Accompagnement à la sortie d’établissement (EMS, ESAT, MAS…).

« Après le décès de mon mari j’avais peur d’être en difficulté dans ma vie quotidienne. J’ai quelques soucis de mémoire et de mobilité et mes enfants et petits enfants sont loin de moi. Avec l’aide des auxiliaires de vie sociale et le passage de mon infirmière je suis autonome et je peux envisager de rester chez moi. J’y habite depuis plus de 50 ans et ne me voyais pas vivre ailleurs, surtout pas en maison de retraite. »